10 octobre 2021 - Himalaya et Inde, Népal, Trekking, Dossier Népal
Banquet au sommet

De l’avion aux lodges, repas, permis, porteurs, pourboires et boissons, cet article présente les principaux postes de dépenses à prévoir pour un trek au Népal. NB : très important, le budget rakshi versus bière !

Retrouvez ici tous nos treks au Népal.
 

Avion international pour un trek au Népal

De nos jours, de nombreuses compagnies aériennes proposent des liaisons de l'Europe vers le Népal à l'exception notable des américaines et des européennes (si, si, Aeroflot et Turkish airlines...). Ce sont historiquement les compagnies indiennes (Jet airways, India airlines) ou Thaï qui se sont vues année après année dépassées en nombre de rotations par celles du Golfe persique (Qatar, Emirates, Oman air, Koweït, etc.). La raison n'est pas que le pays soit devenu musulman mais les avions sont toujours bien remplis du fait que ces pays sont, avec la Malaisie et les Philippines, des bassins d'emploi pour les jeunes népalais. Les places qui ne sont pas achetées par les touristes sont vendues à prix défiant toute concurrence aux sociétés d'export de main d’œuvre.

Noter que depuis quelques années les compagnies chinoises desservent aussi l'unique aéroport international du Népal, celui de Katmandou, mais à prix égal, aller plus loin pour revenir en arrière à quelque chose d'incongru... Les prix s'inscrivent pour une classe économique entre 700 et 1400€ l'aller-retour. Mais le retour d'expérience permet de constater, du fait de la variabilité des prix calquée sur l'offre et la demande, qu'on n'est pas forcément gagnant d'acheter son vol un an à l'avance car on pourra avoir la surprise de découvrir sur les moteurs de recherche que nombres de places sont à bas prix à seulement quelques jours du départ. Seule condition : ne pas être à cheval sur des dates fixes comme le vendredi ou le samedi soir... Attention aussi aux escales interminables n'assurant pas forcément un prix intéressant !
 

Coût des formalités consulaires au Népal

Coût des formalités consulaires au Népal à l'arrivée à l'aéroport de Katmandou, vous devrez acquitter le prix du visa touristique valable 15, 30 ou 90 jours (de 20 à 100$). Mais la longueur de la file d'attente étant de plus en plus importante, il serait préférable, si possible et au préalable, de faire établir le visa dans l'une des ambassades népalaises présentes dans votre pays.

Et depuis très récemment, et à condition que vous pénétriez au Népal par l'aéroport de Katmandou (point d'entrée unique !), il y a possibilité de remplir le formulaire de demande de visa par internet sur online.nepalimmigration.gov. Après avoir rempli le formulaire en ligne (assez confus...), le système vous répondra par un code-barre que vous imprimez et que vous présenterez avec votre passeport au comptoir des visas à l'aéroport avec photo et votre règlement, et il vous faudra quand même faire la queue...
 

Une fois sur place au Népal

A l'arrivée à l'aéroport de Katmandou, vous devrez acquitter le prix du visa touristique valable 15, 30 ou 90 jours (de 20 à 100$). Mais la longueur de la file d'attente étant de plus en plus importante, il serait préférable, si possible et au préalable, de faire établir le visa dans l'une des ambassades népalaises présentes dans votre pays.

Sur place : Katmandou est le lieu de passage incontournable où sont regroupées les quelques 1500 agences du pays (il est à souhaiter que vous aurez une idée de laquelle avec qui vous voulez contracter avant d'arriver au Népal sinon vous passerez beaucoup de temps à comparer les prestations et surtout trouver les bureaux de l'agence...). C'est ici que vous ferez établir votre TIMS (le « laisser-passer » du trekker à 20$) et où vous obtiendrez, en acquittant la somme demandée, le précieux sésame du permis de trek autorisant l'entrée des touristes dans certaines régions particulières, en fin de compte presque toutes..., pour des prix allant de 10$ la quinzaine à 50$ par jour.

Attention ! Les administrations sont fermées le samedi, jour de repos hebdomadaire. Par contre le dimanche, c'est bon. Et puis, ne soyez pas trop à flux tendu car vous n'êtes pas à l'abri d'un jour férié à l'occasion d'une fête laïque ou religieuse... Noter que si vous avez l'intention de randonner du côté du massif des Annapurnas vous pouvez directement vous rendre à Pokhara où vous trouverez, certes en moins grand nombre, des agences de trek peut-être un poil plus « familiales ».
 

Katmandou, hébergements et repas pour un trek au Népal

Mais revenons à Katmandou : on trouve toute sorte d'hébergements dans la vallée ou à la périphérie de la ville à tous les prix selon le confort choisi (entre 2$/jour en guest-house jusqu'à 1 000$, voire plus, dans les hôtels de grand luxe comme le Radisson®). La valeur moyenne acceptable pour le trekker souhaitant un minimum de confort se situe entre 40 et 80$ la nuit avec petit déjeuner.

Beaucoup de bars et de restaurants où l'on peut boire et manger des mets du monde entier composés avec d'excellents produits. Côté boisson, thé, hot lemon, Coca®, Fanta® ou Pepsi® élaborés sous licence au Népal et une profusion de bières locales, pour la plupart goûteuses. Les prix sont, à peu de chose près, identiques à ce que l'on paie en Europe dans des zones non touristiques. 

Les sites touristiques historiques mis à mal par les séismes du printemps 2015 (mais en cours de consolidation voire de reconstruction) sont pour la majorité d'entre eux d'accès payant (de 2$ à Bodnath jusqu'à 10$ pour Patan ou Bakhtapur). Pour se déplacer, on utilise les services des nombreux taxis dans lesquels le compteur ne fonctionne jamais... On négocie le prix de la course AVANT de pénétrer dans la voiture (allez, entre 100 et 500 roupies, 1 à 5$, selon la longueur de la course et le trafic).
 

Transports locaux pour un trek au Népal

Les transports terrestres : si vous voyagez seul(e), il va falloir vous débrouiller pour trouver la bonne gare routière où vous pourrez réserver des places dans les autocars qui vont vous acheminer aux quatre coins du pays, et même au-delà des frontières (Inde). Il est quand même intéressant de savoir déchiffrer l'écriture devanagari pour savoir si on est à bord du bon autobus. Quant aux annonces des contrôleurs, elles sont incompréhensibles pour le non népalais et il est nécessaire de l'interpeler une deuxième fois pour s'assurer que l'on ne va partir dans l'autre sens...

Pour des local bus, on comptera de l'ordre de 2 à 5$ pour effectuer une centaine de kilomètres avec des conditions de confort, dirons-nous, spartiates. Il y a quelques tourist bus qui desservent « plus rapidement » certaines destinations touristiques comme Pokhara, Beni, Jiri, Syabrubensi, Besisahar, Gorkha : pour le double ou triple du prix, le confort y est un peu meilleur qu'à bord des bus locaux, vous ne risquez pas de vous retrouver à partager votre minuscule siège avec une famille népalaise sympathique au demeurant mais envahissante... Toutefois, la vitesse moyenne reste quand même inférieure à 30 kilomètres par heure...

Et les avions ? Pas si dangereux que ce qu'annonce la Communauté Européenne qui les a bannis des aéroports européens (de toutes les manières un avion népalais devrait opérer une dizaine d'escales avant de pouvoir se poser sur le tarmac européen le plus proche du Népal, à Chypre). Alors... Il y a pas mal de compagnies privées et les avions ne sont pas si mal entretenus que ça. Les pilotes sont des professionnels et certes il y a (eu) quelques crashes ces dernières années, principalement dans les zones montagneuses où les conditions météo très particulières rendent le pilotage très difficile, causant à chaque fois la mort d'une vingtaine de passagers mais ce n'est rien à côté du nombre de décès causés par la route entre la vétusté des véhicules, les comportements à risques des conducteurs (à 40 km/h, donc « à fond », vous aurez l'impression que l'on risque votre vie à chaque dépassement, en troisième file dans un tournant sans visibilité ou de nuit dans un gymkhana de folie au milieu des ORNI ou Objets Roulants Non Identifiables qui ne disposent pas de feux de position...). Et que dire de l'entretien a minima des routes ou des pistes taillées à flanc de falaise sableuse un bon millier de mètres au-dessus du fond de la vallée ? Passons sous silence... Le prix des liaisons aériennes intérieures est fixé par décret gouvernemental. Il est assez élevé (entre 80 et 200€ l'aller simple selon le nombre de kilomètres, et beaucoup plus sur les petites liaisons de montagne où il n'y a pas de concurrence, comme le Dolpo ou le far West). Heureux serez-vous si vous pouvez vous prétendre de nationalité népalaise, le népalais ne paie que le quart du prix du touriste, ce qui fait quand même une somme quand on la compare au revenu moyen dans le pays...
 

Choisir son équipe pour un trek au Népal

Contracter une agence

Une fois au départ de votre trek : il est vraiment conseillé de contracter avec une agence AVANT de venir au Népal. La grande majorité d'entre elles ont créé un site internet, certes aux images et propos flatteurs, mais ça donne une idée dans quoi on va s'engager. Ou alors, faire confiance à un ami qui en revient, mais pas à l'ami d'un ami d'un ami qui connaît quelqu'un qui est parti avec, ou pas...

On assurera au moins le niveau de qualité des prestations de ladite agence mais pas des personnes qui vont vous encadrer. Et c'est là que le bât blesse : il n'y a aucune assurance, mis à part la carte de « guide » mise en place depuis quelques années par le gouvernement népalais, que celui qui va faire en sorte que votre trek se déroule de la meilleure des manières, on l'appelle le sirdar, soit à la hauteur de la tâche qui lui est confiée. En effet, en haute saison, les agences font appel à des extras. D'où l'intérêt de « réserver » à l'avance la personne que l'on vous a recommandée...

Là, le prix des treks varie du simple au sextuple. Il dépend de nombreux facteurs qu'il serait fastidieux de détailler ici : si vous êtes un seul ou en groupe restreint, si vous souhaitez un confort pas trop basique avec tente individuelle, etc. Qu'on se le dise, les circuits hors des sentiers battus ou se déroulant dans des régions très mal desservies par les transports locaux sont des destinations dispendieuses (Dolpo, Mustang, far West) ; il n'y a pas d'hébergement et votre staff devra tout acheminer depuis la capitale ; plus le trek durera longtemps, plus il faudra engager de porteurs pour convoyer l'équipement de camping, la cuisine, les bagages, la nourriture des clients et celle des porteurs. Quand on sait qu'un porteur ingurgite 700g de riz sec par jour, c'est sa seule nourriture..., imaginez le nombre nécessaire de porteurs rien que pour porter la nourriture des porteurs, et aussi de ceux qui portent la nourriture des porteurs... pour un périple d'une vingtaine de jours !


Le convois de mules

Le recours à des convois de mules est proposé dans certaines régions mais tout dépend de la conformation du terrain, certes cela réduit le nombre de porteurs (donc moins de riz à convoyer...), les mules mangent de l'herbe (quand il y en a...), mais a contrario les mules ont l'inconvénient de ne pas pouvoir franchir tous les obstacles, entre autres les cols rocailleux ou glacés et ne sont pas vraiment agiles lors de la désescalade d'un goulet rocailleux ou d'un éboulis même si l'on a sécurisé le passage avec un bout de corde...
 

Engager un porteur

Attention ! N'engagez JAMAIS un porteur qui se propose au premier village du trek (il propose de vous accompagner pour 6 à 10$ par jour mais peut aussi vous laisser en carafe au milieu de l'ascension s'il considère que ce qu'il a gagné lui est suffisant...). Vous pourriez le regretter amèrement de longues années après... Un accident est si vite arrivé et vous serez, selon la loi népalaise et contrairement à ce que vous pouvez penser, SON EMPLOYEUR. Réfléchissez-y rapidement et préférez passer par une agence qui a l'obligation de le couvrir d'une assurance médicale et rapatriement. Bien sûr, toutes les agences ne le font pas (elles encaissent la somme que vous leur donnez mais ne contractent pas l'assurance, c'est de bonne guerre...). Demandez une facture en bonne et due forme qui attestera de votre bonne foi : la somme que vous avez acquittée au directeur de l'agence vous déchargera de la responsabilité. Compter en gros 15$ par jour.

 

Randonner en solo

Et si je veux randonner seul ? C'est tout à fait possible sur les destinations courues comme le camp de base de l'Everest, le tour ou les balcons de l'Annapurna, le Langtang, l'Helambu, le Rolwaling ou le Kangchenjunga (liste non exhaustive) mais n'espérez pas sortir de ces itinéraires pour découvrir des régions isolées, souvent proches de la frontière chinoise : les contrôles de police vous interdiront le passage même si vous avez bien payé le permis. En effet, il faut savoir que des conditions complémentaires ont pu être ajoutées par l'administration népalaise comme l'accompagnement d'un guide népalais qualifié avec carte, l'obligation d'être en groupe (de 2, de 4...), la période de résidence limitée (7 jours à Naar-Phu) pour pénétrer dans les restricted areas. Voire même, dans le cas de la traversée du col du Ghemi La entre Dolpo et Mustang (d'accord ce n'est pas le plus connu mais...), qu'elle ne peut s'effectuer qu'en octobre et novembre si l'on ne veut pas se recevoir des salves de fusil de chasse lorsque l'on approchera du village de Ghemi et qu'on devra traverser les champs des agriculteurs de Ghemi ! C'est en train de se normaliser mais la mentalité des villageois n'évolue pas à la même vitesse...

 

Les treks en lodges

Ce sont les plus touristiques et donc les moins chers : comptez dépenser entre 20 et 30€ par jour, un peu moins si vous vous soumettez au régime dal bhat (riz, lentilles). Si vous êtes accompagnés, la période est révolue où l'accompagnant népalais était hébergé et nourri gratuitement. Il paiera certes moins cher que vous mais son dal bhat lui coûtera quand même « un bras »...

Le confort de ces établissements, même s'il a bien progressé ces dernières années, reste dans les régions d'altitude assez spartiate : bas flanc, habitacle exigu, toilettes (très) sommaires et froid nocturne. Le duvet individuel est recommandé si vous ne souhaitez pas être accompagné pour le restant de votre séjour, par de petites bêtes au demeurant sympathiques mais parfois envahissantes...

Il fallait bien que ça arrive : il s'est créé depuis quelques années une gamme d'hôtels de catégorie luxe sur l'itinéraire du camp de base de l'Everest, et là, on est choyé comme dans un hôtel suisse ! Le confort est au top mais le prix d'une nuit consomme le budget trek d'une semaine, voire de deux...

 

Comment se ravitailler sur un trek au Népal ?

Sur les itinéraires touristiques, pas de problème pour trouver de la nourriture ou des boissons. Seul inconvénient et de taille : le prix augmente avec l'altitude ou l'éloignement du bout de la route.

L'acheminement des victuailles ou des boissons s'effectue à dos d'homme (vous pourrez croiser des porteurs convoyant des charges plus hautes qu'eux et dépassant leur poids). Ne vous offusquez pas, au Népal, porteur, c'est un travail comme un autre. Ces colporteurs « ont fait le choix » de porter plus pour éviter un retour à la case départ à vide et donc sans financement. Ils se rétribuent sur le prix des marchandises en rajoutant une taxe au poids et au nombre de journées qu'ils ont eu la charge sur le dos : une déclinaison de notre TVA (Taxe à la Valeur Apportée). C'est une des raisons pour lesquelles le touriste achète sa bière 30 à 50 roupies plus cher à chaque étape. Il n'y a qu'au Dolpo, au Mustang et dans le far West que le prix de la bouteille de bière diminue plus on se rapproche de la frontière tibétaine, mais là, on changera de fournisseur : on aura à disposition de la bière chinoise Lhassa® ou Budweiser® de qualité et prix moindres.

Les chinois ont créé à leur frais des dizaines de pistes en territoire népalais partant de la frontière tibétaine pour acheminer dans les villages situés au nord de l'Himalaya (donc isolés des grandes métropoles du piémont népalais comme Katmandou, Pokhara ou Taplejung par de très hauts cols impliquant des dizaines de jours de marche pour rejoindre la première piste népalaise) victuailles, boissons, vêtements et tout autre produit vendable soit par camion soit par convois de mules ou de yacks. Mais le paradigme évolue : la création de ces pistes dans la montagne a simplifié l'utilisation des convois de mules (20 à 30 mules pour un ou deux muletiers). Vous vous rendrez vite compte que vous êtes en train de suivre une route commerciale, olfactivement il va sans dire... Mais il faut bien « nous » nourrir, « nous » qui faisons partie de cette foule de touristes aux besoins qui augmentent chaque année ! Cette offre de portage se substitue aux humains. C'est donc l'un des plus vieux métiers du Népal, le portage, qui s'en trouve affecté et nombre de « petites gens » restent au bord du chemin avant d'aller s’agglutiner à la périphérie de Katmandou à la recherche d'hypothétiques « petits boulots » de substitution.

Sur les destinations hors des sentiers battus, si vous faites étape dans un village, vous aurez l'opportunité de pouvoir dîner voire dormir chez l'habitant (ne pas oublier de rétribuer la famille hôte disons 100 ou 200 roupies, 1 à 2$). Bien sympa mais n'espérez pas que ce soit possible systématiquement car nombre de villages éloignés vivent en autarcie et ils ne pourront proposer un repas qu'à condition que ce soit pour un tout petit groupe et de manière occasionnelle car si le fruit de leurs récoltes se retrouve dans le ventre des touristes, que leur restera-t-il comme réserves pour passer le long hiver ? À méditer...

Les seuls produits que l'on trouve en quantité dans les villages sont le raksi (un alcool léger de grain titrant 10 à 15°) et le tchang (la bière locale fermentée à 6°). Ces deux boissons sont élaborées à base de la céréale locale (millet, orge, maïs, blé, sarrasin, etc.) et selon des recettes tout aussi locales... La première ressemble à du saké, la seconde est une sorte de bière assez peu mousseuse. Certaines sont bonnes, voire excellentes (beaucoup plus rare), d'autres totalement infectes (si vous n'accrochez pas, laissez de côté, c'est un truc à se rendre malade...!). Il est vrai que pour 100 à 200 roupies le mana (l'équivalent d'un demi-litre), ça paraît séduisant mais, bien que le taux d'alcool ne soit pas exagéré, il y a de quoi déclencher une bonne tempête sous le crâne pour la nuit suivante et une très grosse fatigue le lendemain. Certains népalais peuvent mettre jusqu'à 3 jours de temps pour retrouver un comportement normal après une soirée arrosée...

 

Et pour finir sur les coûts d'un trek au Népal...

Le Népal est une destination relativement peu onéreuse pour qui veut s'en tenir aux parcours dits « touristiques », là où il y a une demande des touristes et une offre locale d'hébergement et de restauration. Ailleurs, il vous faudra passer par les services d'une agence de trekking qui, pour nombre d’entre elles, sont rompues à cet exercice, fortes d'un long historique à organiser toutes sortes de programmes. Vous pouvez aussi confier ces vacances à une agence française, Tamera pourquoi pas... Pour nombre d'entre elles, les conseillers de ces agences sont des passionnés de la destination, ils sont souvent très impliqués sur place et ont même créé des itinéraires de trekking au sein de la montagne népalaise. 

L'agence Tamera basée dans le vieux Lyon est un des spécialistes du Népal en France, proposant une gamme exceptionnellement large de treks, de trekking et de randonnées au Népal. Les agences locales népalaises réceptrices de ces agences françaises, évaluées à chaque circuit qu'elles organisent, sont rompues à cet exercice et il y a VRAIMENT peu de risques d'être déçu au retour. Notons un autre avantage, de taille : toutes les formalités sont prises en charge et vous n'avez pas à vous soucier de l'obtention des permis, de l'acheminement routier ou aérien, etc. Et en cas de « coup dur », retard sur le jour par jour, rotation aérienne annulée (pas si rare que ça...), elle mettra tout en œuvre pour faire en sorte que vous soyez à l'heure à l'aéroport de Katmandou pour monter à bord de votre avion international. Le « téléphone arabe » n'est pas l'apanage des pays africains ou du moyen Orient. Au Népal, ça fonctionne vraiment bien... Et une année suivante, avec cet apprentissage acquis lors de votre premier séjour « encadré », vous serez à même de vous débrouiller par vous-même sans que vous ne perdiez de votre précieux temps en tâtonnements chronophages. Alors, bienvenue au Népal !

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